La décision sera confirmé
e le 9 septembre. Il se compose de
deux parties :
Premièrement, réduire le nombre de jours pour recevoir des
pensions. Celle-ci passerait à 1 320 jours, soit l'équivalent de quatre ans de
travail de dépôt ;
Ceux qui n'ont pas cumulé 1 320 jours de cotisations
peuvent désormais également récupérer leur part patronale payée par
l'employeur.
Cette décision touchera directement près de 2 millions de
personnes (dont 60% déclarent à la CNSS).
Pour rappel, le gouvernement Benkilane a tenté de réparer
cette injustice, mais n'a pas atteint le seuil des jours cotisables ou de la
part employeur. L'ancien chef du gouvernement a bien compris La décision sera
confirmée le 9 septembre. Il se compose de deux parties :
Premièrement, réduire le nombre de jours pour recevoir des
pensions. Celle-ci passerait à 1 320 jours, soit l'équivalent de quatre ans de
travail de dépôt ;
Ceux qui n'ont pas cumulé 1 320 jours de cotisations
peuvent désormais également récupérer leur part patronale payée par
l'employeur.
Cette décision touchera directement près de 2 millions de
personnes (dont 60% déclarent à la CNSS).
Pour rappel, le gouvernement Benkilane a tenté de réparer cette injustice, mais n'a pas atteint le seuil des jours cotisables ou de la part employeur. L'ancien chef du gouvernement a bien compris que si les salariés ne respectaient pas la cotisation de 3 240 jours, ils perdaient tous leurs droits. Puis, il a décidé de leur rendre au moins leur contribution.
"Il s'agit d'un problème structurel du marché du
travail et de sous-déclaration, ce qui signifie que de nombreux travailleurs
sont surpris par cette réalité en fin de carrière. Lors du premier cycle de
dialogue social avec le ministre de l'Emploi, le gouvernement s'est engagé
auprès des syndicats Pour remédier à cette aberration. Tenir ainsi les
promesses de la rentrée. Lorsque la décision a été présentée au chef du
gouvernement, il l'a entérinée rapidement. Car c'était une promesse, mais aussi
une énorme injustice qu'il faut réparer. Notre message La source a expliqué.
Seuil de jours de cotisation réduit et droit du retraité à
la part patronale
Une décision sera rendue le 9 septembre. Il contient deux parties :
Premièrement, une
réduction du plafond de cotisation pour les droits à pension. Cela passe à 1
320 jours. H. Équivalent à 4 ans de travail déclaré ;
Par ailleurs, les
personnes n'ayant pas cumulé 1 320 jours de cotisation peuvent désormais
récupérer les cotisations versées par leur employeur. Cette décision touchera directement environ 2
millions de personnes (60% de celles signalées à la CNSS).
Rappelons que le
gouvernement Benkirane avait déjà tenté de réparer cette injustice, mais
n'avait pas mentionné le nombre de jours de cotisation ni les plafonds de
cotisations patronales. Le chef du gouvernement savait que si un salarié
n'atteignait pas 3.240 jours de
cotisation, il perdrait tous ses droits. Il a alors décidé de leur rendre au
moins leurs contributions.
Cependant, le montant
du capital versé par la CNSS restait
dérisoire. Les baisses de seuil et le droit de réclamer des cotisations
patronales, les pensions de vieillesse pour les personnes aux carrières
mouvementées, trop peu affiliées et celles qui n'ont pas atteint le délai
minimum de 1 320 jours vont au moins augmenter.
Pays désignés pour réformer la législation du travail et les lois sur les grèves
La décision qui plaît aux syndicats intervient quelques jours seulement avant le début du deuxième cycle de dialogue social de cette année. Tenu le 14 septembre, le dialogue portera sur une question très importante. Il s'agit d'une loi organique sur la grève bloquée depuis des années faute d'accord entre syndicats et patronat. En plus de s'attaquer à l'injustice sociale, le gouvernement a également promis sa bonne volonté aux représentants des travailleurs pour faire avancer cette importante réforme, les différents partenaires sociaux s'engageant à être achevés d'ici janvier 2023.
a fait.L'accord tant attendu par les milieux d'affaires sera suivi de négociations sur une autre réforme majeure : la législation du travail. Il s'agit de prendre des décisions audacieuses sur le travail flexible, un terme qui a toujours frustré les syndicats. Ces derniers se sont engagés en avril dernier auprès du gouvernement et du patronat à finaliser le dossier d'ici juillet 2023. Les augmentations du SMIG et du SMAG comprennent les ajustements prévus du SMIG et de ce dernier, la réduction du seuil du nombre de jours cotisés pour l'admissibilité à la retraite de la CNSS et d'autres mesures liées au pouvoir d'achat. Le PLF 2023 semble avoir jeté les bases de négociations pacifiques sur ces deux réformes clés (la loi sur la grève et la loi sur le travail) pour l'attractivité du Maroc en tant qu'environnement des affaires et destination touristique.